mercredi 30 mars 2016

Costa-Rica, roi des plages latino-naturelles !

Hi les Amis,

Après le surf, nous allons vers Peñas Blancas, pour entrer au Costa-Rica.
Pas de problème pour passer la frontière mais ils étaient plus sympa au Honduras.

L'idée est de traverser le Costa-Rica, sans passer par la capitale, pour rejoindre la côte Caraïbe.
Il paraît que les plus belles plages caribéennes se trouvent au Costa-Rica.
L'idée est aussi de ne pas tarder dans ce pays, beaucoup plus onéreux que les précédents, colonie des US et aussi, parce que nous n'avons pas le besoin de voir du déjà vu.



On fait un petit stand-by à Libéria, ville coloniale, pas trop loin de la frontière.
 On a réservé, cette fois.

C'est Swenn qui nous ouvre la grille(le grand blond)  et dès le premier instant, je devine, je sens, même, qu'il ne supporte pas la gente féminine.
Du coup, on ne se comprend pas, bien sur, et il disparaît pour m'envoyer Jésus, son collègue.( le beau brun)





Tout de suite, ça va beaucoup mieux et j'ai même l'impression que Jesus me comprend sans même que je parle.
Vous voyez ce que j'veux dire.



Jesus tient très bien l'hôtel, organisation, propreté, lits bien faits, cuisine bien pensée,... limite un peu maniaque.

Chouette hostal grâce à Jesus.












Un peu de regrets sur le choix de Libéria car nous n'avons rien vu de colonial et d'ailleurs rien de bien intéressant, si ce n'est cette église très jolie, des barreaux à toutes les maisons et ce magasin de friandises .









Nous n'avions jamais vu un aussi grand magasin que de sucreries.












Sans tarder, nous passons du N-O au S-E du pays, à travers la cordillère centrale, pas très haute (1500m)  et bien verte.

J'ai repéré un chouette Hostal "Akuna Matata". Je ne parviens pas à réserver (connexion) mais on s'y présentera en arrivant à Cahuita car c'est là qu'il faut aller.

En arrivant, vers 20h, pas de place, nous dit Lucas, l'italien
Asseyez-vous, je vais appeler mon copain.
Voulez-vous quelque chose à boire ?

20 min plus tard, Arthuro vient nous chercher avec sa Willis.
C'est vraiment Hakuna matata !

Son hostal, le Nirvana, sur la playa Negra, est même mieux que celui de Lucas
Il peut nous loger cette nuit mais rien n'est certain pour la suivante.






Demain est un autre jour !

Allons voir les alentours; la musique nous appelle.

Bonne ambiance Reggae, nous adorons ça !











Arthuro appelle son client qui confirme bien son arrivée, ce soir

Malheureusement, nous devons quitter ce bel endroit à 30 pas de la plage.

Mais Arthuro, l'italien, a déjà pris les devants en appelant ses copains.

Il nous conduit chez Jusepe, à l'hôtel " Buena Suerte " 



"Hakuna Matata" nous conduit au "Nirvana" pour arriver à "Buena Suerte" !

On a vraiment été pris en mains.
Un accueil à l'italienne !

Nous connaissions déjà l'accueil italien mais là, le retrouver au Costa Rica, ça fait chaud au cœur !




C'est avec plaisir que Jusepe et Simona nous soignent aux petits oignons pour le ptit déj.



Cette plage nous donne envie d'aller voir plus loin

















Nous n'avons pas eu tord;

On en a eu plein la vue !

eau verte, eau bleue, parasols naturels, faune, ...

Une très belle promenade dans les sous-bois qui longent la côte

même pas eu trop chaud !
(c'était à plat)








des centaines de crabes

pleins d'oiseaux et de papillons

( je n'ai plus essayé de les photographier, ça prend trop de temps)
















On a même rencontré un paresseux mais il n'a pas voulu poser









                                                  de très belles plages à l'état nature


                              Nous n'avons pas aimé Libéria mais Cahuita nous a ravis

jeudi 24 mars 2016

Le surf à San Juan del Sur Nicaragua

Holà Amigos,

Contrairement aux tristes nouvelles diffusées par nos médias Franco-Belges, nous continuons à vous envoyer de belles images venant de l'Ouest.                Un peu de baume au coeur, j'espère.

De Ometepe, nous nous sommes dirigés vers San Juan del Sur car, disait un Nicaraguayen, " Si tu viens au Nica sans aller à San Juan, tu n'as rien vu du Nica". Donc, allons-y !


Deux heures durant, c'est la piste très sèche et poussiéreuse.

On s'enfonce dans ... la brousse, je crois.

Des vaches, des chevaux, parfois une moto, bref, pas grand monde.










Mais où va-t-on arriver ?

Une fois encore, on se croit en Afrique

Qu'allons-nous trouver au bout du chemin ?

En fait, je pense que nous n'avons pas pris le bon bus mais nous ne sommes pas mécontents d’être passés par là.





Arrivés à San Juan, un peu plus bleu, nous cherchons un hôtel car nous ne réservons pas à l'avance, préférant voir sur place.

Nous avions oublié la
"Semana Santa", très importante dans cette partie du monde.
Tous les hôtels sont pleins et ce n'est qu’après une heure de recherche en plein soleil, sous 35°, avec nos sacs
( à roulettes, heureusement) que nous trouvons une chambrette dans un hostel un peu limite.
De plus, les prix sont doublés mais OUF, on ne dormira pas dehors.



La plage est belle et avec beaucoup d'ambiance.

San Juan est LA station balnéaire des Nica's  mais surtout, entourée au nord et au sud d'un tas de petites plage très prisées pour le surf.

L'ambiance est donc sportive et festive.








y con Daniel, todo va bien !



















On n'a pas fait grand chose à San Juan si ce n'est d'admirer les beaux couchers de soleil, différents chaque jour.































se promener dans les rues, toujours remplies de musiques





manger, boire, boire, boire
car il fait très, très chaud.
On apprécie les douches froides !

A 20h, il y a encore 31°

A minuit, personne ne dort et la musique va à fond.











Le lendemain, nous avons accompagné une bande de surfeurs allant sur la plage de Remonza à une vingtaine de minutes en pickup















Plage beaucoup plus calme mais avec de beaux rouleaux et réellement sportive


On s'est régalés à les regarder, deviner leurs techniques et observer les tactiques









Tout ça depuis le bar Reggae, seul bar de la plage

 bons cocktails et  beaux garçons.

Les filles sont sportives et les garçons sont beaux !








Egalement des chiens, tout aussi beaux,  s'amusant comme des ptits fous, entre terre et mer, entr'eux ou avec les gens.















Celui-là, est un chien surfeur.

Nous l'avons vu, fier comme Artaban, sur la planche avec son maître.

Malheureusement, je n'ai pas été assez vite pour faire la photo
Dommage car ça valait la peine.

Il aime ça et va, carrément, demander aux surfeurs de l'emmener mais je pense que seul, son maître, maîtrise la situation de planche pour 6 pattes



Plage de Remanzo en fin de journée

La mer s'est calmée et les surfeurs rentrent















Plage de San Juan




Certes, les couchers de soleil sont très beaux mais le copain Nica a un peu exagéré en mettant San Juan au top du Nicaragua.




Leon, Granada, Ometepe, San Juan, nous avons beaucoup apprécié le Nicaragua.

Bien que nous n'ayons pas vu traces des Mayas, l'accueil, la gentillesse des gens, la beauté de la nature compensent bien l'authenticité moindre qu'au Guatemala
                                                           
                                                                                                       
A bientôt, les amis.
Ce sera depuis le Costa-Rica

lundi 21 mars 2016

Ometepe, en symbiose !




Après 2h de route depuis Granada, nous sommes à l'embarcadère de San Jorge, attendant le ferry qui nous emmènera à Ometepe.















C'est avec El Che que nous nous approchons de cette île, au milieu du lac Nicaragua.

Encore bien présent, El Che, dans ces contrées.












Le caillou  résulte des éruptions de 2 volcans:

le Concepcion , le plus haut à 1.600m, beau cône presque parfait, encore en activité  et

le Maderas , à 1.400 m, sans activité connue, son cratère contient un petit lac.




Nous arrivons à la tombée de la nuit, c'est dimanche et il n'y a plus de bus pour aller à Santo Domingo, plage entre les 2 volcans.
Quelques taxis nous attendent et  proposent de nous y conduire ( à +/- 20 km) pour 25$ la personne. Sont fous ces taxis, mais en position de force !   On va quand même discuter




Nous sommes une douzaine dans la même situation et très vite, sans se connaître, venant de tous horizons, de tous âges, parlant des langues différentes, une solidarité est née pour négocier le prix du transport. Ça a duré environ 1/2h.
Finalement, nous sommes partis dans un collectivo ( bus 14 places) pour 3$ la personne.
Excellent moment ! Salué par ce beau coucher de soleil, au bout de la piste d'atterrissage que nous traversons en bus.






Le lendemain matin, nous découvrons l'environnement, le calme, la nature, les fleurs, les oiseaux.


















Excellent endroit après les 2 villes, assez bruyantes, que nous venons de visiter.
Bonne musique partout, c'est bien , mais je crois que les Latinos sont un peu sourds. C'est toujours au plus fort. De plus, à Granada, dans un même endroit, on peut entendre 4 musiques différentes; ça ne les dérange pas.

Ici, à Ometepe, c'est le calme et ça fait du bien






Sur la plage de Santo Domingo, nous sommes dans un hôtel, en redémarrage, seuls clients et soignés aux petits oignons par Martin et Jamileta



El Ojo de agua est une piscine naturelle alimentée par l'eau volcanique pleine de vertus, disent-ils.






Vertus ou pas, l'endroit est très agréable, à l'ombre des grands arbres habités par plein d'oiseaux chanteurs.

La limpidité et la température de l'eau nous appellent et on y répond volontiers.










Pour visiter l'île : vélo, comme d'habitude.


Dur, dur car c'est rarement plat  
(comme sur notre côte belge) 
et 30 à 35 ° 
( pas comme sur notre côte belge).













On y fait de belles rencontres et tout est paisible.
La vie est simple;





















Jour de lessive



















Fait chaud, fait soif !

Petite halte dans le "bar" du coin

Nous y sommes restés un bon moment, goûtant le calme, l'ombre et la petite brise qui nous caressait.












La cîme du Concepcion est souvent cachée par les nuages.















Avec un minimum de soin ( juste arroser), les fleurs pullulent sur l'île.










le geai bleu en vol

Ils sont souvent par deux et passent de branche en branche. Ils ne restent jamais tranquille.

Pas pu faire mieux comme photo.






Nous y sommes retournés à
Ojo de Agua.

Très bonnes, les cocos















Le vent se lève chaque soir pour nous rafraîchir et les nuages menacent
mais le soleil se lève chaque matin pour les chasser.


C'est pas bien ça !?






























Lui, c'est notre voisin.
Il habite dans l'arbre d'à côté

Daniel va lui dire une ptit bonjour chaque jour.
Ils font même la causette.















Le Maderas, notre autre voisin









            Le Concepcion, sans nuage, juste avec sa petite fumerolle centrale






Ometepe : 

      un régal pour les yeux

      un anti dépresseur

      une belle symbiose !