Hola Amigos,
(Sorry du délai mais en ville, il y a tellement de touristes qui tirent sur le wifi que les connexions sont trop faibles pour charger les photos)
Après avoir laissé Utila et sa Miss Univers, derrière nous, le ferry nous emmène à La Ceiba
Le taxi, nous attend pour nous conduire au lieu de RV du bus qui prendra 2 arrivages.
Comme vous voyez, pas de problème lorsque le coffre est trop petit .
C'est dans ce bus que nous passerons plus de 15h à traverser le Honduras
( du nord au sud) pour arriver à Leon au Nicaragua, à 1h du matin.
On a probablement eu tord de ne pas passer quelques jours au Honduras (sauf Utila) car il nous a semblé que le pays est bien plus évolué qu'on ne le dit.
De plus, les honduriens que nous avons croisés, lors des arrêts, étaient bien accueillants
Vers midi, pose avec dégustation des fruits ( ananas et cocos )
Ça a fait le plus grand plaisir aux 12 personnes que nous étions.
Tous américains sauf 2 autrichiens et nous.
A Leon : bardaf sur notre tête ! 28° en pleine nuit. Que calor !
A l'hostal Guardarbarranco, pas d'eau chaude.
Pas grave, on prend ! Et on appréciera de plus en plus.
Le lendemain, nous irons juste faire un petit tour dans le centre ville, un peu de repérage, manger un bout et vers 14h, le soleil nous offre 35°.
D'autres photos dans le diapo, à gauche de l'écran.
Nous n'avions pas encore rencontré notre "Buffalo" latino.
Mais, au grand réconfort de Daniel, nous avons trouvé Carnivoro. Sans aucune hésitation !
Très bonne trouvaille. Ça change du poulet !
Nous passerons l'après-midi en dessous du ventilateur.
Déjà, on pense à quitter les lieux, tellement cette chaleur est pénible à supporter. On ne va, tout de même, pas passer notre temps sous un ventilateur. On verra demain.
Demain étant un autre jour, en effet, nous supportons déjà mieux ces températures.
Nous nous aventurons plus oultre dans la ville et même, nous envisageons d'aller crapahuter sur le Cerro Negro, le plus jeune volcan d'Amérique Centrale.
Sa dernière éruption s'est produite en 1999.
L'idée est d'arriver au sommet par un côté et de descendre en luge de l'autre côté.
Il n'est pas très haut, ce volcan.
On le fait ?
On le fait !
Il y a des situations que l'on appréhende avant, mais on le fait.
Demain 8h, c'est parti pour une heure de route pour arriver au Cerro Negro.
Route de poussière volcanique.
Les animaux ont encore toute leur utilité et sont restés au service et en compagnie de l'homme, tout en étant bien traités, nous semble-t-il.
Il y a assez bien de cultures dans le coin, la terre volcanique étant bien fertile.
En effet, pas très haut, on va pouvoir le faire.
Selon le guide, 1h pour arriver au sommet.
Je le préviens, de suite, qu'il peut faire fois deux car on va aller à notre rythme.
Pas une fianne d'ombre, des gros cailloux, mais ça ne monte pas trop fort ( du moins au début)
De plus en plus raide et de plus en plus dur pour nous.
Ce qu'il ne nous avait pas dit, le guide, c'est que chacun porte sa planche ( la luge)
Il y a des situations que l'on regrette pendant .
Arrivés +/- aux 2/3 , j'en suis à ne plus pouvoir faire plus de 40 pas de souris sans m'arrêter pour reprendre ma respiration, et de plus en plus difficilement.
Mais la partie la plus raide est devant nous, le soleil tape bien, le vent monte et il faut bien tout pour tenir debout.
On s'interroge !
De la petite plate-forme, nous avons une très belle vue sur la cordillère des Maribios ; un paysage lunaire !
Nous décidons que ce sera très bien ainsi.
Satisfaits de l'exercice, nous n'irons pas plus loin.
Au lieu de descendre en luge ( ça dure 2 minutes) , nous redescendons à pieds, en repassant par tous les gros cailloux ( 45 min )
Finalement, on a bien crapahuté.
Il est des situations que l'on appréhende avant, que l'on regrette pendant et que l'on apprécie après.
Vive la douche bien fraîche !
L'après-midi, on flâne dans la ville de Léon, capitale de la révolution, on visite une expo, rare, que j'ai bien appréciée.
La révolution aurait démarré de Leon car c'est là que se trouvait la première faculté de droit d'où sont sortis, les premiers avertis.
L'expo met en évidence le rôle de nombreuses femmes pendant la révolution.
C'est pas rare, ça ?
N'ayant plus rien grand chose à faire à Léon, on décide de partir, dès le lendemain pour Granada, autre ville coloniale au bord du lac Nicaragua.
Avec le bus public, c'est 10 fois moins cher qu'avec une agence.
C'est plus dangereux, disent-ils.
Franchement, ce n'est pas plus dangereux, mais juste plus populeux et il faut un gros poil de patience.
à demain, les amis ! Nous vous emmènerons à Granada .
Beau paysage belle photo
RépondreSupprimerVotre petit prince
Merci Petit Prince,
RépondreSupprimerDis bien au Président et au Ptit Loup que vous nous manquez beaucoup.
Bizzz et à fort bientôt
Tu nous manque aussi.
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