Retour au bercail

Quelle surprise et quelle joie de retrouver nos enfants, grands et petits, dès notre atterrissage à Roissy. 

Vraiment, ça donne encore plus chaud que le soleil latino ! 

Pas eu besoin d'attendre, ils étaient presque tous là (dommage que Sandra n'a pas pu changer son horaire boulot) 

Le voyage est terminé; nous sommes de retour chez nous, fatigués, rassurés, au milieu des nôtres. 

La petite est venue nous chercher chez Dom&Nico 

Merci, merci, merci les enfants ! 

et merci à vous tous de nous avoir suivis. 
Nous espérons que les partages vous ont été agréables tout comme il nous était agréable d'avoir un peu de vous avec nous. 


Demain, nous serons dans notre village préféré, mais la tête encore ailleurs,    là-bas, au soleil.
Quelques jours de décantation seront nécessaires pour nous ramener à la réalité du quotidien. 

Nous penserons à Gloria et Félix et leurs enfants, à Vicente et Dolores, nos profs favoris de Casa Rosario, à nos complices de voyage canadiens, suisses et parisiens, Nelly et Patrick d'Utila, Martin et Jami d'Ometepe, aux surfeurs de San Juan, aux charmants italiens de Cahuita, .... et à tous les beaux endroits traversés



A mas tarde para una nueva aventura ! 
                                                             Que todo vaya bien ! 

Panama, à la une ! but without papers !

Hola Amigos,

Nous revoici, à partir du Panama, non parce que nous sommes des envoyés spéciaux d'investigation mais parce c'est le dernier pays d'Amérique Centrale que nous avions décidé de visiter.
Pas d'amalgame!

Après avoir traversé  la frontière la plus classique que nous avons rencontrée, le pont " no man's land "

nous roulons dans la cordillère centrale, vers un peu plus de fraîcheur.

pour arriver chez nos hôtes, Beatriz et Manolo, à Boquete, petite ville située dans une bien jolie vallée, à 1200m d'altitude.










Inutile de vous préciser combien nous apprécions la fraîcheur.



24° la journée et 18° la nuit
Excellent !
J'ai même failli ressortir mon pygama qui ne m'avait plus servi depuis le lac Atitlan.











Les coatis, pas du tout farouches, vivent dans ce coin




















Nous ne manquons pas de visiter l'exposition d'orchidées qui fait suite à un concours qui a lieu chaque année.


















Et puis, une bonne petite frite depuis la "baraque à frites" dont le propriétaire est  belge.
On n'aura vraiment pas manqué de frites !

De belles chutes à voir ?

Ok, mais faudra encore se faire suer un peu car ça monte bien.

Cette fougère est haute de +/- 2 m

















    Encore un ptit coin de paradis.

mais la grimpette n'est pas finie

                         La taille des copains, la-haut, vous donne une idée de la hauteur de la chute

La ville de Boquete, qui n'existe que depuis une centaine d'années, est, en elle-même, sans prétention, mais bien agréable.

Notre dernier déplacement en bus durera 8h, pour rejoindre Panama City.

Ainsi, depuis le début du voyage, nous aurons fait 112h de bus et 9h de bâteau.



















La route étant monotone, je fais la chasse aux camions . Celui-ci est mon préféré.

D'un côté de la baie, une city moderne

De l'autre côté,
el Casco Viejo, en pleine restauration et franchement, lorsque tout sera fini, ce sera très joli.

C'est là que nous sommes installés même si l'inconvénient est que les bus ne peuvent pas y entrer.
Ce qui fait que pour aller à la city, nous faisons 30 min de marche pour trouver la station de métro.






Et nous sommes repassés à des plus de 30° !
Trop chaud ! Mais on marche


Et dire qu'il y en a qui se plaignent d'avoir froid

Bon, ça va ! On vous envoie une bonne dose de soleil !









Panama est très cosmopolite, comme beaucoup de capitales.

Ceci dit, nous sommes frappés par la diversité de la population. On y trouve toutes les origines: des nord-américains, des sud-américains, des africains,
des asiatiques et un peu d'européens et vous savez d'où ils viennent : de l'Italie.

On n'aura pas manqué de pizzas, toutes délicieuses.
Mais pas de gratin dauphinois, pas de flamiche, pas de canard, ... non, les français ne sont pas là.



Sauf que le métro est un produit de Alstom.


















Au bout du tunnel, nous trouvons cette belle église toute finement ciselée

au milieu des tours





La iglesia del Carmen.

avec un intérieur très sobre.






                 Un peu plus loin,















                             
    Le canal , la fierté du Panama


à gauche




     à droite

 Les installations sont impressionnantes










Le paquebot rouge, là-bas dans le fond, contenant plus de 4.000 voitures,  fait son approche

vient se positionner derrières les petits (qui attendent depuis un certain temps)

guidé et tiré par 4 petites locos mais bien pesantes (50 tonnes chacunes)
















Le niveau baisse de 8 m avant que les portes de s'ouvrent
















La manœuvre a duré 2h30 pour passer l'écluse de Miraflores avant de voguer vers le Pacifique.

Il avait déjà passé une première écluse à Gatum, quelques km plus avant.

Le petit port de pêche près
de Casco Viejo

Je vous disais cosmopolite et diversité !

La technologie à côté de la simplicité
Le beau à côté du laid

car il y a aussi

                               à droite

à gauche
















L'aventure se termine, les amis.

Samedi, nous décollons vers Paris et si le voyage a été très, très intéressant, il nous a rappelé, si souvent, comme nous sommes si bien près des nôtres. Vous devinez notre impatience.

à très bientôt pour un dernier billet, après décantation.
Besitos à todos

Costa-Rica, roi des plages latino-naturelles !

Hi les Amis,

Après le surf, nous allons vers Peñas Blancas, pour entrer au Costa-Rica.
Pas de problème pour passer la frontière mais ils étaient plus sympa au Honduras.

L'idée est de traverser le Costa-Rica, sans passer par la capitale, pour rejoindre la côte Caraïbe.
Il paraît que les plus belles plages caribéennes se trouvent au Costa-Rica.
L'idée est aussi de ne pas tarder dans ce pays, beaucoup plus onéreux que les précédents, colonie des US et aussi, parce que nous n'avons pas le besoin de voir du déjà vu.



On fait un petit stand-by à Libéria, ville coloniale, pas trop loin de la frontière.
 On a réservé, cette fois.

C'est Swenn qui nous ouvre la grille(le grand blond)  et dès le premier instant, je devine, je sens, même, qu'il ne supporte pas la gente féminine.
Du coup, on ne se comprend pas, bien sur, et il disparaît pour m'envoyer Jésus, son collègue.( le beau brun)





Tout de suite, ça va beaucoup mieux et j'ai même l'impression que Jesus me comprend sans même que je parle.
Vous voyez ce que j'veux dire.



Jesus tient très bien l'hôtel, organisation, propreté, lits bien faits, cuisine bien pensée,... limite un peu maniaque.

Chouette hostal grâce à Jesus.

Un peu de regrets sur le choix de Libéria car nous n'avons rien vu de colonial et d'ailleurs rien de bien intéressant, si ce n'est cette église très jolie, des barreaux à toutes les maisons et ce magasin de friandises .









Nous n'avions jamais vu un aussi grand magasin que de sucreries.

Sans tarder, nous passons du N-O au S-E du pays, à travers la cordillère centrale, pas très haute (1500m)  et bien verte.

J'ai repéré un chouette Hostal "Akuna Matata". Je ne parviens pas à réserver (connexion) mais on s'y présentera en arrivant à Cahuita car c'est là qu'il faut aller.

En arrivant, vers 20h, pas de place, nous dit Lucas, l'italien
Asseyez-vous, je vais appeler mon copain.
Voulez-vous quelque chose à boire ?

20 min plus tard, Arthuro vient nous chercher avec sa Willis.
C'est vraiment Hakuna matata !

Son hostal, le Nirvana, sur la playa Negra, est même mieux que celui de Lucas
Il peut nous loger cette nuit mais rien n'est certain pour la suivante.






Demain est un autre jour !

Allons voir les alentours; la musique nous appelle.

Bonne ambiance Reggae, nous adorons ça !

Arthuro appelle son client qui confirme bien son arrivée, ce soir

Malheureusement, nous devons quitter ce bel endroit à 30 pas de la plage.

Mais Arthuro, l'italien, a déjà pris les devants en appelant ses copains.

Il nous conduit chez Jusepe, à l'hôtel " Buena Suerte " 



"Hakuna Matata" nous conduit au "Nirvana" pour arriver à "Buena Suerte" !

On a vraiment été pris en mains.
Un accueil à l'italienne !

Nous connaissions déjà l'accueil italien mais là, le retrouver au Costa Rica, ça fait chaud au cœur !




C'est avec plaisir que Jusepe et Simona nous soignent aux petits oignons pour le ptit déj.

Cette plage nous donne envie d'aller voir plus loin

Nous n'avons pas eu tord;

On en a eu plein la vue !

eau verte, eau bleue, parasols naturels, faune, ...

Une très belle promenade dans les sous-bois qui longent la côte

même pas eu trop chaud !
(c'était à plat)

des centaines de crabes

pleins d'oiseaux et de papillons

( je n'ai plus essayé de les photographier, ça prend trop de temps)
















On a même rencontré un paresseux mais il n'a pas voulu poser

                                                  de très belles plages à l'état nature

                              Nous n'avons pas aimé Libéria mais Cahuita nous a ravis